Retour sur les spectaculaires oeuvres de l’architecte
irako-britannique Zaha Hadid disparue en 2016
Je voue une admiration toute particulière à cette femme visionnaire. Elle fait partie pour moi des très grands de ce monde et chacune de ces oeuvres est une source d’émerveillement, de questionnements et d’inspirations constants.
« L’architecture doit contribuer au progrès de la société et au bien-être individuel et collectif. »
Zaha Hadid est née le 31 octobre 1950 à Bagdad. Son travail a considérablement participé au courant déconstructiviste. Son style si particulier, si novateur voire futuriste, sa créativité et son impact ont fait d’elle une figure incontournable de l’architecture contemporaine.
Elle a ouvert son premier cabinet d’architecture à Londres en 1980 et sera la première femme à remporter en 2004 le prix Pritzker (équivalent du prix Nobel pour l’architecture).
Une imposante légèreté
Les oeuvres de Zaha Hadid s’éloignent des structures classiques, cherchent à dépasser les limites spatiales, en repoussant les techniques de construction connues. Ses créations appellent sans cesse une haute technologie, notamment dans les courbes des bâtiments, une maîtrise nouvelle de matériaux comme le verre, l’acier ou les plaques de titane. Il s’en dégage une harmonie des formes, une dentelle architecturale, une poésie linéaire.
Un héritage qui perdure
Si malheureusement, Zaha Hadid s’en est allée en 2016, son atelier Zaha Hadid Architects (avec près d’un millier de projets dans le monde entier) constitue une des principales référence de l’architecture actuelle. Plus de renseignements sur leur site www.zaha-hadid.com